Musique
Encore une fois, l’auberge était très animée… Il fallait dire en même temps que cela coïncidait avec les heures de pointes. Le soleil était haut, et les estomacs dans les talons. Nombreux étaient les artisans du quartier à vouloir savourer un bon repas dans une ambiance festive et agréable, d’autant qu’il y avait quelques aventuriers qui contaient leurs dernières aventures ! En fait, il y en avait tout le temps, mais jamais les mêmes ! Quelques habitués, bien évidement, mais ce n’étaient pas eux qui se faisaient le plus remarquées, préférant rire aux éclats aux jeunôts qui annonçaient fier comme des coqs qu’ils prenaient toute la taverne en combat…
Et c’était à cause d’un de ces moments d’orgueil que l’animation avait une nouvelle fois explosée… L’un déclarait qu’il avait battu au bras de fer un minotaure, et ce en a peine une dizaine de seconde, les autres clamant que le blanc bec avait la langue un peu trop pendue et l’imagination trop fertile, ce qui n’avait pas vraiment plût aux gorilles qui accompagnait le premier, qui s’approchèrent en jouant des bras pour se montrer imposant, et faire ravaler la salive aux détracteurs de l’épopée ainsi contée… Et des amis de la personne menacées ont mal prit ceci. L’escalade de la violence avait trouvée son point de non retour lorsqu’un point trouva un visage…
D’après la patronne, Yograce, « Le traquenard du soir » (c’était le nom de cet établissement très respectable) connaissait à chaque journée son lot de verre brisés, de chope détruites et de tables renversées, et en effet, depuis qu’elle était arrivée, Irme avait put constater que l’endroit connaissait de fréquentes animations… Mais pour autant, les aventuriers qui étaient responsables de ceci (pour la majorité d’entre eux) s’occupaient de payer les pots cassés. L’endroit était victime de sa propre renommée et de l’agitation constante qu’il pouvait y avoir dans ces lieux…
Et cela restait presque amical ! Les armes étaient posées à l’entrée, et personne n’avait le droit de les prendre ou de les utiliser. De même, utiliser de la magie ici était interdit, afin d’éviter que cela ne dégénère. Les seules choses qui étaient présentes étaient les chopes, les couverts et quelques instruments de musique pour parfaire ceci. Les musiciens avaient l’habitude d’accélérer le rythme lors des joutes, pour donner encore plus de festivité… Du point de vue de la demie-griffonne, cela était encore assez étrange, et elle restait plutôt en retrait, ne sachant pas trop si elle devait participer à ceci. Techniquement, elle n’avait pas été provoquée, et elle était en service, mais d’un autre, presque tous les clients s’étaient joints à la mêlée, et elle avait envie de se défouler un peu… Pour le moment, elle restait sur le côté, sur la touche, constatant sans vraiment faire acte, jusqu’à ce que la patronne vienne vers elle :
‘’Irme, ne reste pas plantée là ! Va faire le tour de la salle pour voir si des clients veulent quelque chose. Avec cette agitation, je n’arrive pas à les distinguer !’’
Acquiesçant d’un signe de tête, celle qui ne semblait pas vraiment à sa place commença à marcher sur le côté, évitant quelques projectiles perdus qui finirent contre les murs… Il était probable qu’elle soit de corvée pour nettoyer ceci, mais elle n’y pensait pas actuellement, et se faufilait entre les tables renversée et les chaises qui valsaient dans une chorégraphie improvisée. Elle arriva finallement à la table d’un client, un homme d’une vingtaine d’année, portant visiblement des habits qui l’indiquèrent plus comme étant aisé, au contraire d’elle, portant ses habits rapiécés et raccommodés sous le tablier qu’elle portait durant son service.
‘’Hey, tu as besoin de quelque chose ?’’ Dit-elle en étant plus impressionnée par l’agitation ambiante que par lui, oubliant ce que les gens répétaient en boucle, à savoir quelques politesses, le vouvoiement et autre… Il semblait qu’elle était une cause perdue. Elle le faisait avec son maître, mais car il existait un lien hiérarchique, mais il n’en n’y avait pas avec les inconnus, donc pourquoi se forcer à ceci ?
Encore une fois, l’auberge était très animée… Il fallait dire en même temps que cela coïncidait avec les heures de pointes. Le soleil était haut, et les estomacs dans les talons. Nombreux étaient les artisans du quartier à vouloir savourer un bon repas dans une ambiance festive et agréable, d’autant qu’il y avait quelques aventuriers qui contaient leurs dernières aventures ! En fait, il y en avait tout le temps, mais jamais les mêmes ! Quelques habitués, bien évidement, mais ce n’étaient pas eux qui se faisaient le plus remarquées, préférant rire aux éclats aux jeunôts qui annonçaient fier comme des coqs qu’ils prenaient toute la taverne en combat…
Et c’était à cause d’un de ces moments d’orgueil que l’animation avait une nouvelle fois explosée… L’un déclarait qu’il avait battu au bras de fer un minotaure, et ce en a peine une dizaine de seconde, les autres clamant que le blanc bec avait la langue un peu trop pendue et l’imagination trop fertile, ce qui n’avait pas vraiment plût aux gorilles qui accompagnait le premier, qui s’approchèrent en jouant des bras pour se montrer imposant, et faire ravaler la salive aux détracteurs de l’épopée ainsi contée… Et des amis de la personne menacées ont mal prit ceci. L’escalade de la violence avait trouvée son point de non retour lorsqu’un point trouva un visage…
D’après la patronne, Yograce, « Le traquenard du soir » (c’était le nom de cet établissement très respectable) connaissait à chaque journée son lot de verre brisés, de chope détruites et de tables renversées, et en effet, depuis qu’elle était arrivée, Irme avait put constater que l’endroit connaissait de fréquentes animations… Mais pour autant, les aventuriers qui étaient responsables de ceci (pour la majorité d’entre eux) s’occupaient de payer les pots cassés. L’endroit était victime de sa propre renommée et de l’agitation constante qu’il pouvait y avoir dans ces lieux…
Et cela restait presque amical ! Les armes étaient posées à l’entrée, et personne n’avait le droit de les prendre ou de les utiliser. De même, utiliser de la magie ici était interdit, afin d’éviter que cela ne dégénère. Les seules choses qui étaient présentes étaient les chopes, les couverts et quelques instruments de musique pour parfaire ceci. Les musiciens avaient l’habitude d’accélérer le rythme lors des joutes, pour donner encore plus de festivité… Du point de vue de la demie-griffonne, cela était encore assez étrange, et elle restait plutôt en retrait, ne sachant pas trop si elle devait participer à ceci. Techniquement, elle n’avait pas été provoquée, et elle était en service, mais d’un autre, presque tous les clients s’étaient joints à la mêlée, et elle avait envie de se défouler un peu… Pour le moment, elle restait sur le côté, sur la touche, constatant sans vraiment faire acte, jusqu’à ce que la patronne vienne vers elle :
‘’Irme, ne reste pas plantée là ! Va faire le tour de la salle pour voir si des clients veulent quelque chose. Avec cette agitation, je n’arrive pas à les distinguer !’’
Acquiesçant d’un signe de tête, celle qui ne semblait pas vraiment à sa place commença à marcher sur le côté, évitant quelques projectiles perdus qui finirent contre les murs… Il était probable qu’elle soit de corvée pour nettoyer ceci, mais elle n’y pensait pas actuellement, et se faufilait entre les tables renversée et les chaises qui valsaient dans une chorégraphie improvisée. Elle arriva finallement à la table d’un client, un homme d’une vingtaine d’année, portant visiblement des habits qui l’indiquèrent plus comme étant aisé, au contraire d’elle, portant ses habits rapiécés et raccommodés sous le tablier qu’elle portait durant son service.
‘’Hey, tu as besoin de quelque chose ?’’ Dit-elle en étant plus impressionnée par l’agitation ambiante que par lui, oubliant ce que les gens répétaient en boucle, à savoir quelques politesses, le vouvoiement et autre… Il semblait qu’elle était une cause perdue. Elle le faisait avec son maître, mais car il existait un lien hiérarchique, mais il n’en n’y avait pas avec les inconnus, donc pourquoi se forcer à ceci ?